Les hurlements
“des sourires à nos sanglots
et à Roubaix la mer”
Le jour se lève
Il ne comprend
Que hurlements
Les murmures encore
De plus en plus vite
Les figurines de coton
Se lancent éperdues sur mes pas
Je les tiens, je les tiens
Secrètes armes
Le soleil et les rires
Les bras forts
Les gorges offertes
Les parfums-refuges
Les vivants toujours
Disparaissent
Au coin des rues hurlées
Mais ici pas de rues
De passants endormis
Et la mer et la mer
La mer