L’étreinte
Assise sur les marches
C’est la tiédeur qui m’étouffe
J’entends tes pas qui s’éloignent des miens
Le vent envole leur bruit
C’est la tiédeur qui m’étouffe
Autour de moi les mêmes souffles
Et le sucre qui envahit tout
C’est la tiédeur qui m’étouffe
Le coton aux alentours
Qui veillent, loin des lueurs
Oh, cette tiédeur encore
Encore
Qui nous étouffe